Ça y’est, j’ai le hoquet

Est-ce que j’ai déjà trop écrit? Ou j’en ai déjà marre? Ou bien le hoquet c’est parce que en écrivant, je vais pouvoir dire! toutes les choses que je ne m’autorise pas à dire. C’est bien le hoquet pour s’interdire de dire. Bah. Ça n’empêche que je peux l’écrire, je peux les écrire ces interdits de mes pensées. Ce politiquement correct de mon esprit, ce trop bien normé à l’intérieur de moi qui s’inquiète des répercussions que mes mots pourraient avoir, obtenir, décrire, dépoussiérer. J’aime bien ce mot dépoussiérer. Je revois direct la vieille Marie Pierre et son tablier. Même ma Mamie à moi n’avait plus de tablier comme la MP. Mais j’aimais ses tabliers. Dépoussiérer mes pensées,sées en les écrivant.

Je vis en Atypie

Je vis en atypie

Alors peut-être que je devrais commencer par dire pourquoi j’écris ou pourquoi j’ai choisi ce titre, ou pourquoi je suis là ce midi devant mon écran, ou plutôt devant mon clavier car c’est bien mon clavier que je regarde et pas mon écran d’ailleurs. Mais non, je n’ai pas envie de dire pourquoi. J’ai plutôt envie de dire comment et ce dont j’ai envie. Aujourd’hui. Parce que demain, je n’aurais certainement pas les mêmes envies. Et c’est ça quelquefois le plus terrible en Atypie. C’est que tout s’enchaine, s’emmêle, va vite et une envie chasse une autre et un apprentissage chasse un autre et une curiosité chasse une bonne idée ou encore et encore. Et devoir faire ce putain de tri tout le temps dans sa tête, c’est tellement pénible parfois.

Le biais d’ambiguïté ou comment notre cerveau nous joue des tours

biais d'ambiguité

0674546293 Sonia Reboul ARTICLES ET BLOG – HYPNOSE ET THéRAPIE – COUPLES ET SeXUALITé Accueil >> Blog >> Le biais d’ambiguité ou comment notre cerveau nous joue des tours? Notre cerveau et nos croyances internes Le biais d’ambiguïté Qu’est-ce que le le biais d’ambiguïté, ou comment notre cerveau cherche à comprendre la réalité sans (trop) […]

Quelle femme êtes-vous?

Femmes en équilibre

Est-ce que je me perds? Qu’est-ce que tu veux dire? Et qu’est-ce que tu veux que je te dise? Oui, je me perds souvent et parfois j’ai du mal à me retrouver. Parfois… parfois, j’ai l’impression que la petite fille que j’étais, celle qui savait qui elle était ou en tout cas qui se foutait de savoir qui elle est, et bien elle a disparue. Ou en tout cas elle me manque.

Celle qui ne se posait pas de question, celle qui avait un corps et ça lui suffisait. Celle qui ne savait pas vraiment si elle était un garçon ou une fille et de toute façon c’était pas un problème, d’ailleurs. Cette petite fille qu’on ne jugeait pas, ou qui n’entendait pas.

QR : « Je n’ai pas de plaisir à la pénétration. »

Pas de plaisir à la pénétration

« Je ne prends pas de plaisir à la pénétration. » Voici une phrase que j’entends très régulièrement, avec des variantes : « J’aime bien, surtout au début, quand il entre, mais ensuite ca m’ennuie vite. », « Ça m’irrite, j’ai l’impression de ne pas assez mouiller. » , « Je ne comprends pas, on dirait qu’y’a que ça, me prendre, qui l’intéresse et ça m’agace! ».
Bref, la pénétration est un sujet qui divise encore et autour duquel beaucoup de tabou, de non-dits, de croyances et de symboles du patriarcat subsistent…

La contre-dépendance affective

Contre dépendance affective

On parle beaucoup des dépendants affectifs, de nombreux articles, des livres, des podcasts développent parfaitement le sujet. Et pourtant, on parle peu du pendant de la dépendance affective : la contre-dépendance affective.

Sexualité féminine : quand le désir n’est pas là

Sexualité féminine : désir et libido

La sexualité féminine, dans un grand pourcentage de cas, semble plus marquée que celle des hommes par une libido en vagues, un désir qui va et vient, des envies cycliques qui ne dépendent parfois que d’un rien.
On sait tous que le cycle menstruel, les hormones, les grandes étapes de la vie de la femme joue un grand rôle dans son désir sexuel.
Néanmoins, il semble de plus en plus évident également, que la méconnaissance de son corps, de la rareté voire de l’absence de masturbation, l’ignorance de ses fantasmes, de ses zones érogènes et de ses plaisirs cloisonnent la libido féminine derrière un mur de croyances ancestrales, générationnelles, culturelles, sociétales et des clichés venus de toute part.
Essai de décodage de ce sujet si vaste qu’il mériterait une encyclopédie.