QR : « Je n’ai pas de plaisir à la pénétration. »

Pas de plaisir à la pénétration

« Je ne prends pas de plaisir à la pénétration. » Voici une phrase que j’entends très régulièrement, avec des variantes : « J’aime bien, surtout au début, quand il entre, mais ensuite ca m’ennuie vite. », « Ça m’irrite, j’ai l’impression de ne pas assez mouiller. » , « Je ne comprends pas, on dirait qu’y’a que ça, me prendre, qui l’intéresse et ça m’agace! ».
Bref, la pénétration est un sujet qui divise encore et autour duquel beaucoup de tabou, de non-dits, de croyances et de symboles du patriarcat subsistent…

La contre-dépendance affective

Contre dépendance affective

On parle beaucoup des dépendants affectifs, de nombreux articles, des livres, des podcasts développent parfaitement le sujet. Et pourtant, on parle peu du pendant de la dépendance affective : la contre-dépendance affective.

Sexualité féminine : quand le désir n’est pas là

Sexualité féminine : désir et libido

La sexualité féminine, dans un grand pourcentage de cas, semble plus marquée que celle des hommes par une libido en vagues, un désir qui va et vient, des envies cycliques qui ne dépendent parfois que d’un rien.
On sait tous que le cycle menstruel, les hormones, les grandes étapes de la vie de la femme joue un grand rôle dans son désir sexuel.
Néanmoins, il semble de plus en plus évident également, que la méconnaissance de son corps, de la rareté voire de l’absence de masturbation, l’ignorance de ses fantasmes, de ses zones érogènes et de ses plaisirs cloisonnent la libido féminine derrière un mur de croyances ancestrales, générationnelles, culturelles, sociétales et des clichés venus de toute part.
Essai de décodage de ce sujet si vaste qu’il mériterait une encyclopédie.

Quand la peur de déplaire vire à la prostitution relationnelle

Peur de déplaire, prostitution relationnelle

Nous avons tous une manière bien personnelle d’entrer en lien avec l’Autre. Mais quand différentes peurs entrent en jeu, soit pour pallier à un trouble de l’attachement, une peur de l’abandon ou du rejet, ou à une faible estime de soi, ces peurs peuvent nous pousser à adopter des comportements dysfonctionnels et sources de souffrances à terme.
Je l’ai déjà souvent mentionné : l’Humain est un animal social, qui a définitivement besoin d’être en lien afin de sentir vivant, d’exister. A chaque instant, nous tissons de liens, avec nous-même (et nos voix intérieures, les parties de nous), l’environnement, la nature, un Dieu (spirituel, religieux, imaginaire…), et bien sûr les autres.
Et là est le paradoxe humain : créer des liens avec l’Autre, ça peut être dangereux! Et potentiellement faire souffrir! On peut en souffrir : l’autre peut nous trahir, partir, mourir, nous abandonner, nous rejeter même et pire, un peu de tout ça à la fois!
C’est pourquoi, on est amené à s’adapter à ces peurs lorsqu’elles sont là. Et l’humain que nous sommes sait s’adapter!

Dépendance affective, un trouble de l’attachement

Dépendance affective et trouble de l'attachement

La dépendance affective est un terme entré dans le langage populaire. Il est souvent vu de façon très négative, péjorative, et est maintenant employé à toutes les sauces.
Et pourtant, nous sommes tous, en tant qu’humains, inter-dépendants les uns des autres. On ne peut exister sans l’Autre, car seul le regard de cet Autre, nous permet cet existence. On peut dès lors s’interroger sur le poids de ce(s) regard(s) lors de notre construction, dès l’enfance. Peut-être même avant notre naissance. Quel regard nos parents, principales figures d’attachement, ont porté sur notre existence avant même que nous soyons venus au monde? Et ce regard, combien a t-il pesé sur notre besoin de nous sentir en lien avec les autres? Sur la sécurité ou, à l’inverse, l’insécurité que nous percevons, de manière inconsciente, dans ce lien?

Sexothérapie : l’éjaculation précoce, un trouble de la masculinité?

Ejaculation precoce et sexothérapie

L’éjaculation précoce est un trouble de la sexualité qui affecte près de 20 à 30% de la population masculine. Souvent tabou, les hommes et les femmes qui les accompagnent n’osent pas toujours abordé le sujet. Ni dans le couple, encore moins avec des proches ni même avec les soignants (médecins, gyneco, urologue, thérapeute…).
Pourtant, une sexothérapie bien suivie offre de très bons résultats. En quelques séances, couplées à des tâches spécifiques et ciblées.

Témoignage : « J’ai découvert l’orgasme grâce à ma psy »

orgasme-clitoris-psychothérapie

C., jeune femme de 36 ans, en couple libre, maman de 2 enfants, m’a demandé de publier ici son témoignage sur nos différentes séances de thérapie et sexothérapie. Ces séances ont été au nombre de 9, étalées sur environ 8 mois, avec une coupure de 2 mois.

Voici son témoignage :

J’ai des orgasmes, à 36 ans. J’ai des orgasmes avec mon partenaire, des vrais, encore meilleurs et plus intenses, plus longs qu’à la masturbation. Je n’y croyais plus, je me pensais anormale, frigide, incapable de trouver ce fameux lâcher-prise dont tout le monde parle. C’est vrai. On apprend ça toute jeune : pour arriver à avoir un orgasme, il suffit de lâcher-prise! Mouais… Après le travail que j’ai réalisé avec l’accompagnement de Sonia, je ne dirais pas que le « lâcher-prise » soit le facteur important, ce sont des multitudes de choses qui m’ont aidées…

Troubles du désir et baisse de libido

Troubles du désir et de la libido

Les troubles du désir sont l’un des sujets qui nous amènent, seul(e) ou en couple à consulter un sexothérapeute. L’absence, la baisse de libido sont des phénomènes qui peuvent se produire à diverses périodes de la vie. Cela peut également faire partie intégrante de la construction de la personne : certains ne ressentent jamais de forts besoins sexuels. Et ils s’en accommodent. Parfois pas.

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Hypnose pour vaincre les compulsions alimentaires

Hypnose et thérapies contre les compulsions alimentaires et perdre du poids

« Il est 18h, je suis à la maison, c’est plutôt calme, je suis seule dans le salon. La journée a été plutôt normale, et pourtant, une sensation de vide, comme une angoisse, une émotion désagréable est en train de monter quelque part à l’intérieur de moi. Je n’en veux pas de cette émotion, je ne veux pas savoir d’où elle vient, non pourquoi, non depuis quand elle est là. Elle m’embête, je ne la laisse même pas prendre la place. Je me lève, vais dans la cuisine et commence à avaler la première douceur qui me tombe sous la main. Je grignote, je mange, je me baffre. Voire même j’engloutis. »

Ce schéma vous parle? Car c’est souvent ainsi que débute le cycle infernal dans lequel de nombreuses personnes se retrouv